Pichiu dans toute sa splendeur
Pour vous donner une idée, je peux tout simplement comparer ce processus à une défense de thèse…pas facile! Le but est en ayant l’opinion extérieure de trouver les choses qui clochent dans les plans, les améliorations à apporter ou trucs non conformes dans le but d’avoir une infrastructure le plus durable possible pour la population. Conclusion finale, pas grand-chose à changer outre la centaine de couvercles protégeant les connexions domiciliaires et quelques retouches de peinture ici et là.
Je dois dire que j’ai beaucoup appris en cette journée notamment sur comment on doit agir dans une telle situation. J’ai aussi eu une discussion des plus intéressantes avec l’Ing. Otto Rosasco sur les différences entre les programmes d’ingénierie au Canada et au Pérou, sur la profession d’ingénieur sanitaire au Pérou et sur son parcours de péruvien ayant travaillé à l’étranger.
Juste pour toi Laurence : ``cultivateur`` de tochrosh (cette patate que l’on laisse fermenter pendant des semaines dans un trou rempli d’eau…résultat : une patate avec une odeur insupportable, mais étant une excellente source de pénicilline) à quelques mètres d’un des réservoirs. Il était muet et n’avait pratiquement plus de dents. Cependant, il pouvait rire comme pas un (cependant celle-là je la garde pour mes best-off).
Les fameuses latrines sèches construites il y a quelques années par notre organisme.
Une partie du groupe qui relaxe le temps d’une séance photo assis sur la captation. Signature de l’entente et consultation des différentes instances pour les améliorations à apporter.
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